Car cet endroit est un repère de militants extrémistes, composé de skinheads, semant insécurité et violences dans le 15eme arrondissement de Paris.
mercredi 3 juin 2009
Pourquoi vouloir la fermeture d'un bar associatif ?
Les phénomènes nocturnes autour du Local, 92 rue de Javel : le cas des affiches.
La nuit, d'étranges phénomènes nocturnes se produisent : la pousse d'affiches et d'autocollants sur les murs et panneaux du quartier. Étonnamment depuis l'installation de Local rue de Javel. Les différents groupuscules extrémistes qui s'y rendent, prennent pour devoir d'afficher leurs opinions sur tous les supports qu'ils croisent, défigurant les rues de messages racistes.
Le propriétaire du Local, 92 rue de Javel, n'est pas un Skinhead : c'est Batskin
« Vous voyez des Skinheads ici ? » s'amuse à lancer Serge A. dit Batskin.
Faire des raccourcis, c'est facile, mais là, impossible de ne pas en faire en lisant la biographie du bonhomme dont en voici quelques extraits (incroyable comme sa vie est détaillée sur Wikipédia).
« le 19 janvier, il est condamné [...] à 8 mois de prison avec sursis après l’attaque d’un groupe de jeunes le 22 avril 199 »
« après un séjour de neuf mois en prison pour trafic de stéroïdes »
Source : Wikipedia
Un citoyen modèle.
Qu'est donc que cette association « Envie de rêver ? »
Le statut de l'association est de faire découvrir les produits du terroir à ses membres, louable intention, si ce n'était pas en réalité un lieu de beuveries et de bagarres hebdomadaires.
Comme l'avoue son propriétaire : «C'est un espace associatif dont le but est de promouvoir les produits du terroir et aussi les déguster. En vérité c'est une excuse pour se rencontrer dans un cadre convivial et nationaliste.»
Source : http://www.nationspresse.info/?p=5404
Les articles dans la presse sur le Local, 92 rue de javel
Ce Local, 92 rue de javel, à déjà fait l'objet d'un article dans le Parisien « Le bar de skinheads embarrasse Javel. »
L'article raconte que le maire du Xveme veut obtenir sa fermeture suite à de nombreuses bagarres, courses poursuites, agressions et notamment pour vente d'alcool non autorisé.
Car ces gens boivent beaucoup, la rosette d'Auvergne se déguste à 2 heures du matin avec plusieurs litres de bière que l'on rejette proprement sur les trottoirs rue de Javel.
Source : Le Parisien
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